Mécanicien de métier, Viko a très vite compris que mettre les mains dans le cambouis ne suffirait pas à étancher sa soif d'apprendre et encore moins son envie de créer. Déjà, lorsqu'il était apprenti, il ne pouvait pas s'empêcher de récupérer tout ce qui était destiné à être jeté pour construire des engins improbables : des sculptures mécaniques, souvent fonctionnelles qui envahissaient le jardin du garage de son patron, telles des créatures venues d'un autre monde. Il bifurque très vite vers les arts en se présentant à l'école supérieur d'art de St Etienne qui retient sa candidature à son grand étonnement. Il trace alors son chemin en se formant sur tous les supports qu'on lui propose et même ceux qu'on ne lui propose pas, allant de lui-même frapper aux portes des artisans dont il a envie de connaître le métier. Il effectue une multitude de stages qui nourrissent sa passion et lui ouvrent le champs des possibles. Une seule limite : celle de son imagination.

Bijoux, Photo, Peinture, Sculpture, Bois, Numérique, Céramique

Viko travaille tout ce qu'il trouve et qui l'inspire. Il oscille entre des choix très manuels et des concepts numériques : il ne se met aucune limite et n'hésite pas à passer des heures à se former, même en autodidacte, pour mettre en forme sa vision, quelle qu'elle soit. Soucieux de l'environnement, il utilise beaucoup de matériaux de récupération qu'il transforme selon ses besoin.